Elle reste cependant plus proche de l'Arménie, qui appartient à une alliance militaire dominée par Moscou. Après quatre jours de combats, l’Azerbaïdjan et l’Arménie appellent à un cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh, Affrontements militaires entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan au sujet du Haut-Karabakh, France : Dans le contexte de la crise ukrainienne, le président Hollande se rend dans le Caucase, Les relations entre l’Azerbaïdjan et l’Iran continuent de se détériorer, Thaïlande : des dizaines de milliers de manifestants demandent une nouvelle constitution. Au moins 39 personnes sont mortes en 24 heures dans les combats opposant séparatistes du Nagorny Karabakh, soutenus par l’Arménie, avec l’Azerbaïdjan, selon des bilans annoncés lundi, des affrontements laissant craindre une guerre ouverte entre Bakou et Erevan. Faute d’avancée, les protocoles sont officiellement enterrés par Erevan le 1er mars dernier. « La Turquie combat contre le Nagorny Karabakh, pas que l’Azerbaïdjan. La Russie reste plus proche de l’Arménie, les deux pays appartenant à la même alliance militaire dominée par Moscou, l’Organisation du traité de sécurité collective. Erevan a aussi affirmé qu'Ankara avait déployé des milliers de «mercenaires» transférés de Syrie. Toutes les puissances régionales et mondiales – Russie, Etats-Unis, France, Iran, UE –, exceptée la Turquie, alliée de Bakou, ont appelé à une cessation immédiate des hostilités. «La Turquie continuera à se tenir aux côtés du pays frère et ami qu'est l'Azerbaïdjan, de tout notre coeur et par tous les moyens», a-t-il dit, encourageant Bakou à «prendre les choses en main». France : quelle est la nature du Nouveau Parti anticapitaliste formé par la LCR ? (26.09.2020), L'élection coup d'État de Trump (25.09.2020), Trump sur la pandémie de coronavirus: «pratiquement personne» n’est touché (24.09.2020), La campagne mondiale pour la réouverture des écoles fait passer le nombre de décès dus à la COVID-19 à plus d’un million (23.09.2020), Le socialisme et la lutte contre la guerre, Avant-propos à La Révolution russe et le XXe siècle inachevé. Politique de confidentialité| (Athènes) Les États-Unis ont appelé lundi la Grèce et la Turquie à trouver de « bonnes solutions » pour Athènes et Ankara, qui ont décidé de reprendre des pourparlers après des semaines de tensions en Méditerranée orientale. Le ministère de la Défense du Nagorny Karabakh a lui indiqué avoir regagné des positions perdues la veille, mais l’Azerbaïdjan a au contraire affirmé avoir fait de nouveaux gains territoriaux. Les deux Etats ont aussi décrété la loi martiale et l’Arménie la mobilisation générale. L'Azerbaïdjan impose un couvre-feu dans une partie du pays, notamment sa capitale. Moscou, qui entretient des relations cordiales avec les deux belligérants et représente le grand arbitre régional, a appelé à une cessation immédiate des hostilités, par la voix de Vladimir Poutine. (Erevan) Des combats toujours plus meurtriers faisaient rage lundi entre l’Azerbaïdjan et les séparatistes arméniens du Nagorny Karabakh, tandis que le président turc a nourri les craintes d’une escalade avec un discours incisif en soutien à Bakou. A Ankara comme à Kars, personne ne souhaite froisser le régime d’Azerbaidjan qui entend faire plier l’Arménie par un blocus diplomatique et géographique déjà vieux d’un quart de siècle. Propagation. En attendant il n’y a que Kars qui pâtit de la situation. Beaucoup ont trouvé des raisons d’acquiescer à cette attaque. Mariam HARUTYUNYAN à Erevan et Emil GOULIEV à Bakou «Nous allons nous battre jusqu'à la mort et régler le problème une fois pour toutes», proclame à l'inverse Artak Bagdassarian, un habitant d'Erevan de 36 ans, qui attend sa mobilisation. Technologie rime-t-elle avec démocratie ? Après des semaines de rhétorique guerrière, l’Azerbaïdjan a dit avoir lancé dimanche une «contre-offensive» majeure en réponse à une «agression» arménienne, usant de son artillerie, de blindés et de bombardements aériens sur la province qui lui échappe depuis la chute de l’URSS. L’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a estimé de son côté que la Turquie avait transféré du territoire syrien plus de 300 combattants vers le Nagorny Karabakh. La Turquie et la Russie, arbitre de ce conflit Ce regain de tension entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan fait craindre une déstabilisation de tout le Caucase du Sud. Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a accusé son ennemi historique d’avoir «déclaré la guerre au peuple arménien», tandis que le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a lui promis de «vaincre». Les ministères des Affaires Étrangères russe et iranien ont chacun appelé à la «retenue». Le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a accusé son ennemi historique d’avoir « déclaré la guerre au peuple arménien », tandis que le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a lui promis de « vaincre ». (Bagdad) Trois enfants et deux femmes d’une même famille irakienne ont été tués lundi par une roquette qui visait l’aéroport de Bagdad, où sont stationnés des soldats américains, un bilan inédit dans un pays où les tirs de roquettes sont pourtant devenus quasi quotidiens. Bientôt de l’hydroxychloroquine en vente dans les pharmacies et un retour de la vitamine C en rayon ? Mais c’est impossible, les Russes ne plaisantent pas ici», sourit Kadri. Les deux pays ont considérablement augmenté leurs dépenses militaires au dépens des travailleurs. L’URSS n’est plus, mais barbelés et clôtures métalliques ont perduré. Une guerre arménienne-azérie pourrait rapidement dégénérer en un conflit plus large impliquant la Russie, la Turquie et les puissances américaines et européennes de l'OTAN. «La Turquie combat contre le Nagorny Karabakh, pas que l’Azerbaïdjan. Les guerres en Libye et en Syrie ont sapé la capacité et la volonté des États ayant négocié d’autres cessez-le-feu entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan (les États-Unis, la France et la Russie) de le faire. Contact Us | Un pacte turc-azéri de 2010 exige que les deux parties réagissent militairement si l'une d'entre elles est attaquée par un pays tiers. Quentin Raverdy Envoyé spécial à Kars (Turquie), Transition politique en Arménie : les manifestants maintiennent la pression, Arménie : une journée de répit après onze jours de protestation, Arménie: la crise s’aggrave, le principal opposant interpellé, La carte militaire, un atout électoral pour le président turc, Corée du Nord, Mont-Saint-Michel, Lafarge... : le point sur l'actu de ce week-end, Banlieues, Air France, Corées : l'essentiel de l'actualité de la journée, De président à Premier ministre, Serge Sarkissian prêt à tout pour garder le pouvoir en Arménie, Elections turques : Erdogan, anticiper pour mieux régner. Elle est directement liée à présent aux rivalités géopolitiques mondiales alimentées par les guerres de l'OTAN en Irak, en Syrie et en Libye. Inscrivez-vous et recevez les newsletters de votre choix. Construisons le Parti de l'égalité socialiste (France)! Vous avez décroché de l'actualité depuis vendredi soir ? La Russie, la France et les États-Unis — les trois médiateurs du conflit au sein du Groupe de Minsk — ont appelé sans succès à un cessez-le-feu et à des négociations. « Aucune ingérence n’est acceptable » dans ce conflit dont l’escalade est « très préoccupante », a déclaré pour sa part un porte-parole de la diplomatie européenne. Le bilan réel pourrait être bien plus lourd, les deux camps affirmant chacun avoir tué des centaines de militaires de la partie adverse. Les forces armées azerbaïdjanaises «frappent les positions ennemies avec des roquettes, de l’artillerie et l’aviation […] et ont pris plusieurs positions stratégiques aux abords du village de Talych», a indiqué le ministère de la Défense de ce pays du Caucase qui a dépensé sans compter en armement ces dernières années grâce à sa manne pétrolière. En campagne dans la ville en 2011, le Premier ministre Erdogan, alors en quête des voix des électeurs nationalistes locaux et notamment de la communauté azérie (20 % de la population de la province), compare l’œuvre d’art à une «monstruosité» et appelle à sa démolition. Malgré la chute du bloc soviétique, l’influence de Moscou dans la région a perduré, incarnée ici par quelque 5 000 soldats russes assurant la protection des frontières et de l’espace aérien arménien, en accord avec le gouvernement d’Erevan. «L’ennemi recule», a-t-il affirmé. Une guerre ouverte entre les deux pays laisse craindre une déstabilisation grave de la région, en particulier si la Turquie et la Russie, qui ont des intérêts divergents dans le Caucase du Sud, interviennent dans le conflit. Conflit. Une présence qui inquiète pourtant certains habitants de la région. Sur la scène internationale aussi, on sent poindre le dégel malgré la question de la reconnaissance du génocide de plus d’un million d’Arméniens au début du XXe siècle sous l’Empire ottoman qui envenime encore les relations entre les deux nations. Cette brève escalade avait aussi donné lieu à des craintes d’un conflit durable et témoigne de tensions grandissantes depuis des mois. Crédit: AFP PHOTO / Armenian Foreign Ministry / handout, El Othmani: "J'ai quitté les Affaires étrangères à la demande de Benkirane pour céder la place à Mezouar", Généralisation de la couverture sociale : Le RAMED sera confié à la CNSS, 14 milliards de dirhams consacrés à la réforme, 28 septembre : 44 décès et 1422 nouveaux cas de contamination au coronavirus, Bonnes feuilles : "Le Prophète de l'Islam et les femmes de sa vie" d'Asmae Lamrabet, 6 clés pour comprendre les tensions autour de Guergarat, 417 opérations, plus d'un million de bouteilles d'alcool saisies, arrestations de "barons": Ce qu'il faut savoir sur l'opération Bacchus de la DGSN, Conflit Arménie-Azerbaïdjan : 39 morts après 24 heures de combats, pas d'accalmie en vue, 27 septembre : 2444 nouveaux cas de contamination, 28 décès, Après une nouvelle tentative d’obstruction à Guergarat, le Polisario rappelé à l’ordre par l’ONU, L’Istiqlal traque les conflits d’intérêt avec une proposition de loi. Les deux Etats ont aussi décrété la loi martiale et l’Arménie la mobilisation générale. Un conflit aux causes anciennes et plus récentes. « La Turquie continuera à se tenir aux côtés du pays frère et ami qu’est l’Azerbaïdjan, de tout notre cœur et par tous les moyens », a-t-il dit, encourageant Bakou à « prendre les choses en main ». «Régulièrement, je vois des paysans arméniens qui travaillent leurs champs de l’autre côté. Le bilan pourrait être bien plus lourd cependant, les deux camps affirmant avoir infligé des centaines de pertes à l’adversaire, diffusant des images des destructions infligées. Et de mettre en lumière d’autres infrastructures évitant le territoire arménien, à l’instar de l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan (ville turque près de la côte méditerranéenne) ou encore le gazoduc Bakou-Tbilissi-Erzurum. Faut-il choisir entre «AOC» et Yitzhak Rabin ? « Nous allons nous battre jusqu’à la mort et régler le problème une fois pour toutes », proclame à l’inverse Artak Bagdassarian, un habitant d’Erevan de 36 ans, qui attend sa mobilisation. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se réunir d'urgence mardi à huis clos, à l'appel de Paris et Berlin, pour évoquer la situation, selon des diplomates interrogés par l'AFP. La chute de Mossoul et les crimes de l’impérialisme, Le gangstérisme international et la course à la guerre de Washington contre la Syrie, Québec : Une loi digne d’un État policier est votée pour réprimer la grève étudiante, Les élections présidentielles françaises de 2012, La Grèce et la crise mondiale du capitalisme, Le rôle contre-révolutionnaire de la pseudo-gauche égyptienne, La crise de la dette grecque signale une nouvelle étape de la lutte des classes. Cinq civils azerbaïdjanais et deux civils arméniens du Nagorny Karabakh ont également succombé, selon des données annoncées dimanche. La Chine lance des missiles en mer de Chine méridionale en réponse aux provocations américaines, Sept dirigeants des protestations en Thaïlande arrêtés par la police, Le Comité International de la Quatrième Internationale fonde sa section française, le Parti de l'égalité socialiste. L’Azerbaïdjan n’a pas annoncé ses pertes militaires. Ici, on ne transige pas avec la politique du président Erdogan. L'Arménie et le Nagorny Karabakh dénoncent de leur côté une «ingérence» turque, accusant Ankara de fournir armes, «spécialistes militaires», pilotes de drones et avions à Bakou. « Les affrontements doivent continuer […] je suis prêt à aller au champ de bataille », lance Vidadi Alekperov, un garçon de café de 39 ans à Bakou. Cette guerre est, en dernière analyse, le produit désastreux de la restauration du capitalisme en URSS et du caractère réactionnaire du système d'État-nation. (Washington) Donald Trump cherchait lundi la riposte après les révélations explosives du New York Times sur sa situation fiscale à la veille d’un débat face à Joe Biden qu’il doit remporter s’il espère rattraper son retard dans les sondages. Elle reste cependant plus proche de l’Arménie, qui appartient à une alliance militaire dominée par Moscou. On aimerait bien se saluer, pouvoir se parler. Bakou affirme avoir tué 550 soldats ennemis, et Erevan dit en avoir éliminé plus de 200. Les autres puissances-Russie, États-Unis, France, Iran, UE, ONU-ont appelé à une cessation immédiate des hostilités. La Russie reste plus proche de l’Arménie, les deux pays appartenant à la même alliance militaire dominée par Moscou, l’Organisation du traité de sécurité collective. Tous les efforts de médiation du Groupe de Minsk ont échoué à résoudre ce conflit et des flambées de violences interviennent régulièrement au Nagorny Karabakh, comme en 2016. Une habitation touchée par des tirs des militaires azerbaïdjanais dans la ville de Martuni, dans l'enclave séparatiste à majorité arménienne du Nagorny Karabakh, le 28 septembre 2020 / PHOTOLURE/AFP. Selon le service de presse turc Anadolu, le parlement azéri a adopté une «mesure restreignant partiellement et temporairement les droits et libertés constitutionnels et de propriété des citoyens azerbaïdjanais et des étrangers dans le pays tant que durera l’état de guerre.». Ces combats, les plus meurtriers depuis 2016, ont provoqué l’inquiétude internationale, la Russie, la France et les Etats-Unis –les trois médiateurs du conflit au sein du Groupe de Minsk– appelant à un cessez-le-feu et à des négociations. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé que la priorité était de «mettre fin aux hostilités, pas à déterminer qui a raison et qui a tort». «Chaque année, il y a 300 millions de dollars [environ 245 millions d’euros, ndlr] d’échanges entre les deux pays. Le ministère azerbaïdjanais de la Défense a rejeté ces accusations, affirmant à l'inverse que «des mercenaires ethniquement arméniens» du Moyen-Orient combattaient côté séparatiste. Il a accusé aussi les forces adverses de bombarder des positions civiles de la localité azerbaïdjanaise de Terter. L’Azerbaïdjan impose un couvre-feu dans toute une partie du pays, notamment la capitale Bakou. Toutes les puissances régionales et mondiales, sauf la Turquie, ont appelé à un cessez-le-feu. Un couple s'enlace avant le départ d'Erevan d'un groupe d'Arméniens conscrits pour aller au combat. Conflit Arménie-Azerbaïdjan Des dizaines de morts dans les combats, la Turquie met en garde l’Arménie PHOTO FOURNIE PAR LE MINISTÈRE DE LA DÉFENSE DE L'AZERBAÏDJAN VIA AFP Je demande instamment à tous les personnels attachés à l'armée de se présenter à leurs commissions militaires territoriales.», Le gouvernement azéri, tout aussi belligérant, a réagi en déclarant l'état de siège dans plusieurs régions. Depuis dimanche les forces de l’enclave séparatiste, soutenue politiquement, militairement et économiquement par l’Arménie, et celles de l’Azerbaïdjan s’affrontent dans les combats les plus meurtriers depuis 2016. Jusqu'à 1 000 soldats de Chine, d'Arménie, du Belarus, d'Iran, du Myanmar et du Pakistan y ont participé, ainsi que 250 chars, 450 autres blindés et 200 pièces d'artillerie ou systèmes de lance-roquettes. «Aucune ingérence n'est acceptable» dans ce conflit dont l'escalade est «très préoccupante», a déclaré pour sa part un porte-parole de la diplomatie européenne. Une guerre ouverte entre Erevan et Bakou risquerait de déstabiliser le Caucase du Sud, en particulier si la Turquie et la Russie, puissances régionales, intervenaient. Au bout de la route D060 qui serpente sur les vastes plateaux de la région de Kars, dans l’extrême Est de la Turquie, un jeune soldat, retranché derrière de hauts sacs de sable pour se protéger du vent glacial, fait signe de rebrousser chemin. Pas de panique : on fait le point. Conditions d'utilisation| Il fallait une médiation internationale active. Le Haut-Karabakh, province autoproclamée indépendante du Caucase du Sud, est l'objet d'un conflit qui dure depuis trente ans entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a estimé de son côté que la Turquie avait transféré du territoire syrien plus de 300 combattants vers le Nagorny Karabakh. Olesya Vartanyan, analyste de l'International Crisis Group, a Twitté: «Il y avait nombre de signaux, tous les ont vus et n'ont rien fait pendant des semaines. Les deux ex-républiques soviétiques sont en conflit depuis des décennies autour du Nagorny Karabakh, une région sécessionniste d'Azerbaïdjan soutenue par l'Arménie et théâtre d'une guerre au début des années 1990. Des affrontements militaires ont éclaté hier dans la région contestée du Haut-Karabakh entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. «La frontière ne pouvant être ouverte, on a donc contourné l’Arménie avec des projets comme avec le train Bakou-Tbilissi-Kars, inauguré cette année», rappelle Fahri Ötegen, le président de la chambre de commerce locale. Une guerre ouverte entre Erevan et Bakou risquerait de déstabiliser le Caucase du Sud, en particulier si la Turquie et la Russie, puissances régionales, intervenaient. (Miami) L’ancien directeur de campagne de Donald Trump, Brad Parscale, a été hospitalisé dimanche après que son épouse a averti la police qu’il menaçait de se suicider, ont rapporté les médias américains. L’Arménie et le Nagorny Karabakh dénoncent de leur côté une « ingérence » turque, accusant Ankara de fournir armes, « spécialistes militaires », pilotes de drones et avions à Bakou. 90 ans depuis la Révolution russe: l’avenir du socialisme dans le 21e siècle, Documents de l’élection française de 2002, 1968 : Grève générale et révolte étudiante en France, Le castrisme et la politique nationaliste petite-bourgeoise, Pour une réévaluation de l'héritage de Trotsky et de sa place dans l'histoire du XXe siècle, L'égalité, les droits de l'Homme et la naissance du socialisme, Les bolcheviques au pouvoir – Une importante étude par le professeur Alexandre Rabinowitch sur la première année de pouvoir soviétique à Saint-Pétersbourg, Documents du Congrès fondateur du Parti de l’égalité socialiste, L'héritage que nous défendons – Une contribution à l'histoire de la Quatrième Internationale, Comment le Workers Revolutionary Party a trahi le trotskysme 1973-1985, Rapport du deuxième congrès national du Parti de l’égalité socialiste, Un programme socialiste contre les coupes sociales et le chômage en Europe, Le Parti de l'égalité socialiste se présentera aux élections fédérales australiennes, Adhérez à l'Internationale étudiante pour l'égalité sociale. Une guerre ouverte entre les deux pays laisse craindre une déstabilisation grave de la région, en particulier si la Turquie et la Russie, qui ont des intérêts divergents dans le Caucase du Sud, interviennent dans le conflit.
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